Titre : | A Rémora 95 (2013) |
Auteurs : | H. DUMELZ, Auteur |
Type de document : | Article : Article de périodique |
Dans : | VOIR DEMAIN (N° 451, 2e trimestre (avril-juin 2013)) |
Article en page(s) : | p. 13-15 |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 325 (Handicapés) |
Résumé : |
Le droit à la vie privée et à l'intimité fait partie de la Déclaration universelle des droits de l'Homme. Il est également inscrit dans la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale. Une question peut se poser : pourquoi le législateur a-t-il eu besoin de le préciser dans cette loi, ce droit n'allait-il pas de soi? La particularité de la loi 2002-2 est qu'elle reprend mot pour des articles du Code civil, comme si les professionnels avaient besoin d'un rappel au droit commun. Ainsi cette loi reprend sept séries de droits et notamment : "Les principes de respect de la dignité, de l'intégrité, de la vie privée, de l'intimité et de la sécurité".
Jean-François Bauduret et Marcel Jaeger se posent aussi cette question : "Pourquoi parle-t-on de droits des usagers et non de droits de l'Homme et du citoyen, comme si s'opérait un décrochage de la première notion vis-à-vis de la seconde? L'usager serait-il une sorte de citoyen, appartenant à une catégorie particulière?". Il me semblait important de nous inviter à réfléchir sur cette question qui me parait fondamentale avant d'aborder le cœur du sujet. |
Catégories : | AFFECTIVITE , DROIT , HANDICAP , HANDICAPES , IMAGE DU CORPS , INTIMITE , MILIEU PROFESSIONNEL , SEXUALITE |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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2137 | 325 CHA D | Périodiques | CEDIF Bruxelles | Documents | Consultation en salle de lecture Exclu du prêt |