Titre :
|
Dépistage du cancer de l'ovaire : ce n'est pas pour demain (2017)
|
Auteurs :
|
A. VUILLEUMIER, Auteur ;
I. LABIDI-GALY, Auteur
|
Type de document :
|
Article : Article de périodique
|
Dans :
|
REVUE MEDICALE SUISSE (N° 563, 17 mai 2017)
|
Article en page(s) :
|
pp.1039-1041
|
Langues:
|
Français
|
Index. décimale :
|
315 (Cancer des organes génitaux)
|
Résumé :
|
L'incidence des cancers ne cesse d'augmenter partout dans le monde. L'une des mesures les plus efficaces pour réduire la mortalité par cancer est le diagnostic précoce, à un stade permettant de proposer une traitement curatif. La colonoscopie ou le frottis du col utérin illustrent la réduction de la mortalité par des méthodes de dépistage efficaces. Première cause de décès par cancer gynécologique en Suisse, le cancer de l'ovaire y est diagnostiqué 600 fois par année, le plus souvent à un stade avancé, synonyme de pronostic réservé. Des mesures de surveillance peuvent-elles le détecter à temps? Trois études randomisées ont démontré l'absence de bénéfice sur la mortalité du dépistage du cancer de l'ovaire avec les méthodes actuellement disponibles. Une meilleure compréhension de la pathogenèse permettrait le développement de nouvelles stratégies.
|
Catégories :
|
CANCER DE L'OVAIRE
,
TEST DE DEPISTAGE
|