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Résumé :
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Les questions de santé sexuelle des personnes transmasculines ayant des rapports sexuels avec des hommes sont traversées par des questions d'accès aux soins, et de discriminations. Il s'agit de plus d'un groupe hétérogène, dans ses identifications, ses pratiques et ses prises de risque, ce qui rend difficile le recueil d'informations et la construction de politiques de prévention pertinentes. Les questions de santé reproductive et gynécologique sont peu abordées. Les questions du fonctionnement et du plaisir sexuel commencent à être davantage étudiées, mais restent encore aujourd'hui centrées sur la question des chirurgies génitales. La question du travail du sexe chez les personnes transmasculines est quasiment inexistante dans la recherche, malgré une prévalence déclarative importante dans certaines études internationales. Une des pistes les plus prometteuses pour améliorer la prévention est de co-construire des protocoles de recherche avec les associations de personnes concernées.
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