Résumé :
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Prescrite en France depuis 2016, la PrEP est probablement un des facteurs expliquant la toute récente baisse des nouvelles contaminations, y compris dans le milieu gay. Sa bonne tolérance et son efficacité ne sont plus à démontrer. Cependant, peu de données sont disponibles sur les répercussions qu'elle pourrait avoir sur la sexualité. L'objet de cet article est donc de mesurer l'impact de la PrEP sur la sexualité des HSH, tant au niveau fonctionnel, que comportemental, ainsi que d'un point de vue psychologique et relationnel.
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