Résumé :
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Cette pratique est, à ce jour, essentiellement décrite chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH). La prévalence dans cette population n’est pas bien connue. Elle se situerait entre 3 à 29 % avec un « pic d’usage » qui serait situé entre 32 et 42 ans. Il faut d’emblée préciser que cette pratique ne concerne qu’une minorité de rapports homosexuels – et ajouter qu’elle est fréquente parmi les HSH qui consultent pour IST. Souligner, aussi, que le chemsex se distingue des rapports sous l’emprise de substances (alcool, cannabis…) par l’emploi de nouveaux produits de synthèse. En outre, les risques liés à chaque produit sont potentialisés par le poly-usage et la prise de substances moins spécifiques.
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