Résumé :
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Vu les incertitudes, il s'agit d'exposer les options aux jeunes filles et à leurs proches, de manière équilibrée. Le choix est entre un risque plausible de syndrome de Guillain-Barré mais très rare, dans les semaines qui suivent la vaccination, et un risque de cancer nettement moins rare, probablement réduit par la vaccination mais qui survient de nombreuses années plus tard. Début 2016, il est raisonnable que des jeunes filles choisissent d'être vaccinées en espérant réduire le risque de cancer. Il est raisonnable aussi que d'autres choisissent de ne pas être vaccinées, redoutant le syndrome de Guillain-Barré malgré sa rareté.
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